Prendre rendez-vous au 01 45 75 61 99 ou sur
L’augmentation mammaire avec pose d’implants est une chirurgie très demandée par les femmes lorsqu’elles souhaitent augmenter le volume de leur poitrine de façon naturelle. L’intervention offre des résultats très satisfaisants, avec la possibilité de contrôler précisément la taille finale du nouveau bonnet. Durant la chirurgie des seins, l’implant peut être placé devant ou derrière le muscle pectoral. Voici ce qu’il faut savoir sur les deux techniques.
L’augmentation mammaire avec pose de prothèses est l’une des interventions de chirurgie esthétique les plus courantes en France. De nos jours, les implants mammaires utilisés sont rigoureusement contrôlés par les autorités sanitaires et ne présentent que très peu de risques, ce qui encourage davantage les femmes à recourir à cette intervention.
L’objectif majeur de ce geste opératoire est de sublimer son décolleté en modifiant la taille de sa poitrine, son galbe voire sa forme.
L’augmentation mammaire permet aux femmes complexées par une petite poitrine de retrouver une silhouette plus plaisante et une meilleure confiance en soi.
Si le but principal de la pose d’implants mammaires est d’augmenter le volume de ses seins, elle permet aussi de corriger une asymétrie, de réparer un sein abîmé par une mastectomie, ou encore de corriger une ptôse mammaire.
Au cours de l’opération, l’implant mammaire peut être inséré dans différents plans : à l’avant ou à l’arrière du muscle pectoral.
Lorsque l’on parle d’une pose d’implant mammaire devant le muscle, on emploie le terme de position prémusculaire.
Le geste opératoire est habituellement plus rapide lorsque l’on insère l’implant devant le muscle. Les suites opératoires sont aussi moins douloureuses en général.
Cette position de prothèse est également retenue quand il s’agit de corriger une ptôse mammaire légère.
Par ailleurs, l’implant ne bouge pas, même pendant la contraction du muscle pectoral. Il reste en place quoi qu’il arrive.
Le risque de rejet serait éventuellement plus élevé à long terme avec cette technique, en raison de contractures capsulaires.
Le résultat esthétique paraît moins naturel chez les femmes minces ou chez les personnes qui connaissent une perte de poids marquée.
Enfin, le risque de saignements postopératoire, bien que minime, est plus élevé avec cette méthode.
Le terme de position rétromusculaire est utilisé pour désigner une pose d’implant derrière le muscle pectoral.
Cette technique est particulièrement adaptée aux personnes minces, car les contours de la prothèse ne sont pas visibles et le résultat est plus naturel. On sent également moins la prothèse au toucher.
À long terme, le risque de rejet serait moins grand.
Cette technique d’augmentation mammaire avec prothèses sous-musculaires présente des suites opératoires un peu plus douloureuses, mais les douleurs sont bien calmées par la prise de médicaments antidouleurs.
Par ailleurs, les prothèses peuvent légèrement se mouvoir (monter et descendre) à la contraction des muscles pectoraux. Ce phénomène est tout à fait normal et n’est pas le résultat d’une complication.
La technique offre des résultats moins harmonieux en présence d’une ptôse mammaire.
De plus, la position rétromusculaire peut être responsable d’une baisse de la force ou de problèmes chez les femmes très sportives. Il n’existe en revanche pas de contre-indications en cas de pratique modérée d’un sport.
La première consultation avant une augmentation mammaire par prothèses permet au chirurgien de comprendre vos attentes en termes de résultat esthétique. Elle est l’occasion pour le Docteur Pachet de trouver les solutions les plus adaptées à vos souhaits, à votre morphologie et à vos habitudes de vie.
Le choix de poser l’implant mammaire avant ou après le muscle pectoral va dépendre de plusieurs critères, dont votre morphologie, vos attentes, et les préférences de votre chirurgien.
A lire également
Laisser un commentaire