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La réduction mammaire, ou plastie mammaire de réduction, est une intervention chirurgicale destinée à diminuer le volume des seins, souvent pour soulager des douleurs dorsales, améliorer la posture, ou retrouver un meilleur équilibre corporel. L’une des préoccupations majeures des patientes reste la question des cicatrices . Où se situent-elles ? Sont-elles visibles ? Peuvent-elles s’atténuer avec le temps ? Cet article vous explique en détail les types de cicatrices selon la technique utilisée, leur évolution, et comment bien les soigner.
Toute chirurgie nécessite des incisions pour accéder aux tissus internes. Lors d’une réduction mammaire , le Dr Pachet retire l’excès de peau, de graisse et de glande mammaire. Il repositionne ensuite l’aréole et redrape la peau pour obtenir un galbe harmonieux. Ce remodelage crée nécessairement des cicatrices , dont la forme dépend du volume retiré et de la technique chirurgicale choisie.
Bonne nouvelle : ces cicatrices évoluent favorablement avec le temps et peuvent être très discrètes à long terme si elles sont bien prises en charge.
Vous avez la possibilité de traiter immédiatement les cicatrices avec le laser Urgotouch qui permet d’obtenir une cicatrice 30% moins visible au-delà d’un an.
Il s’agit de la technique la plus classique et la plus utilisée pour les réductions mammaires importantes. Elle combine trois incisions :
Ce type de cicatrice permet une grande liberté pour remodeler et lifter le sein , surtout en cas de ptose sévère (chute marquée du sein) ou d’asymétrie. Bien que les cicatrices soient plus longues, elles sont stratégiquement placées pour devenir très discrètes avec le temps, notamment dans le sillon sous-mammaire , naturellement caché.
Elle est indiquée dans les cas de réduction modérée , où il n’est pas nécessaire de retirer un très grand volume de tissu. Cette technique comprend :
Elle évite donc l’incision horizontale dans le sillon, ce qui signifie moins de cicatrices. Cette méthode offre un excellent compromis entre esthétique et efficacité, surtout lorsque la peau est encore assez tonique. Elle est souvent privilégiée chez les jeunes patientes ou celles avec une poitrine modérément volumineuse.
Réservée aux très petites réductions ou à des corrections esthétiques limitées, cette méthode consiste uniquement en une incision autour de l’aréole. Elle est rarement utilisée seule car elle permet peu de redrapage cutané et de remodelage mammaire, mais peut convenir dans des cas très spécifiques (légère asymétrie, retouche, etc.).
Les cicatrices post-chirurgicales évoluent en plusieurs phases :
Chaque peau cicatrise différemment. Certains facteurs influencent la qualité de la cicatrisation : l’hygiène de vie, l’exposition solaire, l’hérédité, ou encore la rigueur dans les soins post-opératoires.
L’utilisation du laser Urgotouch pendant l’opération permet d’optimiser votre cicatrisation et d’avoir une plus jolie cicatrice d’emblée. Il est également conseillé de faire quelques séances de laser fractionné au cabinet après un mois d’évolution.
Pour optimiser la discrétion des cicatrices, il est essentiel de suivre scrupuleusement les conseils du chirurgien :
En conclusion
Si les cicatrices sont une étape incontournable, elles ne doivent pas faire oublier les nombreux bénéfices d’une réduction mammaire : soulagement physique immédiat, amélioration de la posture, liberté vestimentaire retrouvée, regain de confiance en soi. Et surtout, les cicatrices s’atténuent considérablement avec le temps, ce d’autant que vous aurez opté pour le laser Urgotouch pour optimiser votre cicatrisation et/ou fait quelques séances de laser fractionné après l’intervention
Chaque patiente est unique. Le choix de la technique, donc du type de cicatrices, se fait lors de la consultation préopératoire, en fonction de votre anatomie et de vos objectifs esthétiques. Prenez rendez-vous dès aujourd’hui au cabinet du Dr Pachet à Paris pour discuter de vos attentes.
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